Philippe Ep 07 : Seize Ans
PHILIPPE
EP 07 : SEIZE ANS
J'étais très excité pendant la première nuit. C'était la première fois depuis une semaine que je dormais en présence d'une garçon de mon âge sans le tripoter, sans qu'il ne me suce et sans que je ne l'encule !
J'avais envie de lui sauter dessus, de l'embrasser, de le caresser, de lui sucer la queue
Il ne porte pas de dispositif de chasteté en plus, avec un peu de chance c'est lui qui pourrait m'enculer. Je sais qu'il ne porte pas de dispositif parce que je l'ai souvent vu sous la douche, mais pas que comme vous allez le voir. Le plus dur pour moi sous la douche c'est de ne pas bander
Parfois j'y arrive !
Plus du tiers des étudiants n'a pas ce problème. Il y a déjà plus du tiers des élèves qui portent un tel dispositif. Avant l'âge de seize ans c'est interdit par les lois internationales mais ici les étudiants on une moyenne d'âge de dix sept ans
Eh, éh, éh
Moi je viens juste d'avoir dix sept ans
Et je ne porte pas de dispositif de chasteté !
Oui je sais ça a un peu surpris le fais que je ne porte pas le dispositif PK, c'est ma famille qui les fabrique et les commercialise. Tout le monde pensait que je serais le premier à montrer l'exemple, que le jour de mes seize ans je porterais un tel dispositif. Normal non ?
C'est bien ce qui a failli se passer, le jour de mes seize ans, mon père m'a fait venir dans son bureau. Il m'avait dit : '' Après ta séance de sport tu te prends une douche et je te veux tout propre dans mon bureau !''.
Il avait dit ça sur un ton sympathique ( ça m'avait fait peur ), ça voulait donc dire que tout allait bien et quand tout va bien avec père ce n'est jamais rassurant. Je ne savais pas ce qu'il me voulait, je prenais mon temps et j'arrivais dans son bureau tout beau, tout propre, en costume comme si nous allions sortir pour un rendez vous important.
Il y avait un employé que je ne connaissais pas dans son bureau, un agent de la PK.
Mon père commençait
Mon père : Fils j'ai une grande nouvelle, tu viens d'avoir tes seize ans aussi il faut marquer l'événement.
Moi : ( dans ma tête ) Ouai ! Je sais pas si je dois me méfier ou
M P : Tu m'as dit que tu voulais passer ta licence de pilote d'avion monomoteur. Il faut avoir seize ans pour ça !
Moi : Oué ! C'est génial !
M P : Tu as aussi l'âge pour passer ton permis moto première catégorie .
Moi : Aussi ! Papa tu es génial !
M P : Il y aura aussi quelques cadeaux que nous te donnerons, ta mère et moi. Nous avons décidé d'organiser une petite fête, tu seras même autorisé à inviter quelques amis que nous avons choisis.
Moi : Cool ! ( là je n'étais plus vraiment convaincu )
M P : Maintenant tu pourrais baisser ton pantalon !
Moi : Qué ?
M P : Ton pantalon !
Moi : G
M P : Baisse ton pantalon, ce n'était pas une requête.
Moi : Mais pourquoi ?
M P : Tu viens d'avoir tes seize ans, à partir d'aujourd'hui tu vas porter un dispositif PK en titane
Il me semble que c'était prévu de longue datte.
La je restais sans voix.
Moi : Mais papa, je ne veux pas porter ce genre de truc moi !
M P : Allons ne fait pas l', tout le monde en porte un ici. Tu es le seul à ne pas suivre cette règle.
Moi : Mais papa !
M P : Ne m'oblige pas à hausser le ton Philippe, baisse ton pantalon immédiatement !
Il avait depuis le début une ton très monotone, il ne parlait pas fort, il ne haussait pas le ton justement. Mon père à l'habitude d'être obéi sans discussion et si je n'avais pas été son fils j'aurais soit déjà obtempéré soit déjà été licencié. Je discernais toutefois un certain agacement qui laissait présager le pire
Avec mon père, quand on lui résiste, c'est au pire qu'il faut s'attendre.
L'agent de la PK ne parvenait plus à dissimuler une certain embarra, il avait une petite mallette sur les genoux et agitais ses talons de haut en bas en appuyant sur la pointe de ses pieds.
Mon père levait les yeux, son regard directe me mettait mal à l'aise.
M P : Philippe je te laisse le choix. Sois tu fais ce que je te demande sans que j'ai besoin de le répéter un fois de plus soit je t'inscrit dans l'école militaire qui est en contrat avec la PK.
Là je devenais tout pâle. C'est un truc de fou ... il parait ! Tous les élèves portent un dispositif jusqu'à leur majorité minimum ... il paraît ! Et même que de toutes façons s'il n'en portaient pas il n'auraient même pas envie de se branler, lentraînement est tel que tu n'as pas envie de bander le soir ... il paraît ! Tu es trop fatigué ... il paraît ! En plus tu n'as pas une seconde pour toi ... il paraît ! On ne te laisse pas un instant tranquille ... il paraît ! Tu en ressors transformé
Pour ne pas dire déformé !
Oui je sais
Il paraît !
Mais il paraît tellement que ça fout la trouille. En tous cas moi j'avais la trouille. Timidement j'ouvrais mon pantalon, j'étais comme en état second, je ne me rendais plus vraiment compte de ce que je faisais à ce moment
J'avais le pantalon sur les genoux.
L'agent de la PK ouvrait sa mallette, il en sortait un dispositif PK en titane. Je regardais ça sans plus réagir, dans ma tête tout semblait flou, tout semblait se passer au ralenti. C'était pour moi une grande angoisse à ce moment.
D'un geste très professionnel il passait un anneau autour de mon sexe, un cock ring, le refermait, s'assurait qu'il était parfaitement ajusté. Je regardais ça mais je ne réagissais même pas. Glissait un gant, une sorte de préservatif épais, autour de ma bite.
J'en menais pas large et je peux vous garantir que je ne bandais pas à ce moment.
Ensuite il glissait ma bite dans la cage laissant dépasser l'extrémité de cette capote à l'extrémité de la cage à bite.
C'est une sorte de léger gémissement ou de plainte que j'ai poussé à ce moment mais personne n'a fait de commentaire. Je l'ai peut être seulement pensé, imaginé. J'avais envie de pleurer à cet instant et en fait je pleurais mais sans rien montrer, intérieurement je pleurais.
Ensuite l'employé de la PK enclenchait la cage sur le cock ring, ça faisait clic, il tirait alors sur l'extrémité de la capote qui se dégageait entraînant ma queue qui se mettait alors bien en place. Sur le dessus du dispositif il y avait un petit trou circulaire de six ou sept millimètre de diamètre et un peu moins de profondeur. Il y déposait une sorte de disque qui s'ajustait parfaitement, un nouveau clic. C'était verrouillé, je n'avais pas bandé, je restais là à regarder le truc. J'avais envie de pleurer.
M P : Bien ! Tu peux disposer maintenant Philippe !
Je ne disais plus rien, je faisais la gueule, je remontais mon pantalon et sans les regarder je sortais du bureau de mon père.
Voilà, ça c'était il y a un an, c'était mon anniversaire précédent. Je ne l'ai pas vraiment bien vécu. J'ai pas aimé quoi !
Le lendemain mes parents avaient organisé une petite fête, comme je n'avais invité personne, on avait invité en mon nom tous mes meilleurs amis ( j'en connaissais bien quelques uns mais la plus grande partie ne me disaient rien ), il y avait aussi des filles. C'était rien d'autre qu'un troupeau de courtisans, ils passaient tout les une après les autres pour me saluer ou me féliciter. Vous avez sans doute remarqué certains jeunes, et moins jeunes, qui portent un petit pin's en forme de clé, de cadenas et je ne sais quoi encore
Dessus c'est marqué '' PK Wearer '' . C'est la marque des porteurs du dispositif. Tous les garçons invités en portaient un, tous portaient un dispositif de chasteté.
Mon père m'en a offert un en or avec un diamant dessus et le texte était gravé en platine
Un objet de très grande valeur
Je l'ai toujours et je le porte maintenant que représente mon petit fils au conseil d'administration.
Au début de la fête, mon père m'avait invité à m'amuser et à ne pas faire la gueule.
Mon Père : Maintenant tu es officiellement intronisé comme mon successeur. Maintenant tu es l'héritier ! Tu vas me faire honneur, saluer tous tes invités, faire bonne figure, te montrer comme un hôte accueillant et souriant !
Moi : Mais papa je ne connais personne !
M P : Et bien apprend à les connaître ! Quand tu seras à ma place au sommet de la hiérarchie, seul maître de la plus grosse et plus riche société de la planète tu rencontreras souvent des gens que tu ne connais pas ou que tu as oublié. Tu les traites tous comme si chacun était ton meilleur ami ! C'est pas compliqué ! Ne me fais pas regretter tout ce que je fais pour toi !
Là, c'était pas la peine de répondre
Je me suis fait chier tout l'après midi. En fait ils n'avaient rien à me dire, il me courtisaient, j'étais le futur boss et leurs parents étaient tous des hauts cadres de la PK. La maison se vidait vers la fin de l'après midi, après une telle fête pendant laquelle on avait bien mangé, moi j'avais rien mangé, j'avais un nud au ventre, j'étais dispensé du souper (si je le voulais ) et ça tombait bien, je n'aurais rien pu avaler !
On m'avait offert un nouvel ordinateur, un truc incroyable très léger, très puissant, très cher, mais son système d'exploitation était trafiqué et on ne pouvait pas installer de jeux ! J'avais reçu une nouvelle montre de grande marque et de grand luxe. Quelques vêtements dont deux costumes à plus de huit mille DI chacun
Rien d'intéressant donc !
Je me repliais dans ma chambre, je n'avais pas faim. J'avais joué mon rôle et mon père était ravis. Vous avez remarqué qu'il n'est pas difficile
Si on fait exactement ce qu'il demande ou s'il gagne deux milliards et il est content.
Pendant tout l'après midi j'avais ressenti mon truc, ma queue coincée dans cette cage. Je bandais, j'ai bandé tout l'après midi. C'est vrai que ça ne fait pas mal, mais j'aime pas ! Le soir après ma douche je regardais le dispositif de plus prêt, il n'y avait pas de petite fente pour glisser la clée, mais ça s'ouvre comment ce truc ? Et puis j'ai mal dormi cette nuit là.
Le lendemain très tôt j'entendais la voix de mon Papy, j'étais fou de joie, je sautais de mon lit en criant '' Ouéééé ! '', j'avais oublié le dispositif que je portais depuis la veille. Il me revenait en tête sitôt hors du lit, je dors toujours à poil, c'est plus confortable, et là je me disais '' Peuuuuh !''.
Mais Papy était là ! C'était déjà une bonne chose ! Je m'habillait en quelques secondes et sortait de ma chambre comme une furie, je croisait un valet de chambre qui montait mon petit déjeuner !
Moi : J'ai entendu la voix de mon Papy !
Le valet : Il était là il y a une seconde, mais il n'a pas osé vous réveiller Monsieur Philippe !
Moi : Il n'est pas parti ?
Le valet : Non il prend son petit déjeuner avec votre père dans la petite salle à manger.
Moi : Je vais faire pareil
Je descendais alors les marches deux par deux et j'arrivais un peu essoufflé à la salle à manger. Il était là avec mon père et ma mère ! J'embrassais tout le monde avec peut être un peu plus de tendresse pour mon Papy. Je l'aime bien mon grand père, il est cool ( surtout avec moi ). Ma mère était ravie de me voir arriver avec le sourire, mon père était fier.
Mon Père : Et voilà donc papa notre nouveau futur directeur.
Grand Père : C'est peut être un peu prématuré ! Tu ne crois pas Antoine ?
Mon Père : Mais il a accepté de porter le dispositif hier, le jour même de son anniversaire. Tu peux me croire papa, je suis très fier de lui !
Grand Père : Il a accepté ? Tu as vraiment accepté Philippe ?
Moi : Peuh : Pas trop le choix !
Grand Père : Ne me dis pas Antoine que tu l'y a contraint ?
Mon Père : Mais bien sûr que non voyons ! Je l'ai encouragé c'est tout. N'est-ce pas Philippe ?
Moi : Pffff !
Grand Père : Nous verrons ça plus tard, j'espère que tu ne t'opposeras pas à ce que jemmène mon petit fils avec moi pendant ses vacances.
Mon Père : Bien sûr que non papa et ou va-tu l'emmener passer ces vacances ?
Grand Père : Chez mon frère. Ses deux tontons ne le voient pas souvent et s'en plaignent régulièrement !
Mon Père : Ses tantes tu veux dire !
Grand Père : ANTOINE ! Je te conseille de marquer un peu plus de respect pour la famille sinon je te jure que tu ne vas pas tarder à voir que tu n'as pas encore passer l'âge de te prendre une gifle !
A cet instant mon Grand Père avait l'air furieux et je ne doutais pas un instant qu'il était capable de mettre une gifle à mon père, son fils ! Mon père ne disait plus rien il piquait du nez dans son café, ma mère semblait très mal à l'aise. Pas de doute, dans cette famille comme dans la société PK le directeur c'est mon père mais le big-boss c'est toujours mon grand père !
L'ambiance était plombée ! Plus personne ne parlait. Je terminais rapidement mon chocolat pour pouvoir remonter dans ma chambre en leur disant
'' Je vais me préparer ''.
Grand Père : C'est pas la peine de prendre de bagage, tu sais qu'il y a tout ce qu'il te faut chez tes oncles
Il regardait mon père en prononçant ce dernier mot ! Et puis c'est vrai quoi, il tout de même
Mes deux tonton Luc et Bob, ils sont mariés tout de même ! Je montais, je m'habillais et je ne prenais donc que l'essentiel
Mon téléphone cellulaire !
Un peu plus tard, j'avais du mal à cacher ma joie, et je courais dans tous les sens, je disais au revoir à mon père ( qui avait un sourire un peu coincé ) ma mère qui avait l'air navrée ( ? ) faut pas chercher !
Je sortais de la maison en courant et me retrouvais devant une voiture banale, mon grand père arrivait peu après.
Moi : Mais ta voiture n'est pas là Papy ta voiture est pas là t'es pas venu à pied et ne me dis pas que tu es venu dans cette caisse à savon elle est ou ta voiture Grand Père on va y aller comment chez mes tontons ils habitent à plus de quatre cent kilomètres on va pas y aller à pied et moi je fait pas toute cette route dans ce truc .
Ouai j'étais enthousiaste. La caisse à savon c'était une voiture allemande de très belle classe mais c'est que je m'attendais à mieux moi !
Grand Père : Mais non on ne va pas y aller à pied, mais je suis venu en hélicoptère, c'est un nouveau modèle très confortable produit par notre section aéronautique. Ça c'est juste pour aller à l'héliport
Moi : Cool !
Il nous fallait moins de deux heures pour faire la route et je confirme que ce nouvel appareil était très confortable et très silencieux. J'en profitais pour raconter à mon Grand Père comment ça s'était passé avec mon père. Ça ne lui plaisait pas. Il faut dire que mon grand père m'a toujours dit que je ne serais pas obligé de porter un tel dispositif si je ne le voulais pas.
Chez mes oncles il y avait un vieil ami à mon Grand Père
Antoine ! Il était là avec mon Grand Père à l'origine du développement de la PK et je crois même que c'était eux deux qui avaient imaginé le nom PK Compagnie. On parlait longuement de mes mésaventures, et à la fin du repas
Antoine : Tu veux qu'on te l'enlève ton truc mon petit bonhomme ?
Moi : Oui mais c'est une serrure spéciale ! Il n'y a pas de clé !
Antoine : Le modèle clé électromagnétique à réponse active ?
Moi : Euuuuuh ! Mais c'est inviolable !
Antoine : Tu crois ça bonhomme, à ton avis qui l'a inventé ?
Les trois autres rigolaient à l'entendre et à voir mon visage incrédule. Antoine montait dans sa chambre, en redescendait quelques instants plus tard avec un petit boîtier qui tenait largement dans la main. Il positionnait ce boîtier devant ma braguette, un voyant vert s'allumait puis un second et quand le cinquième s'allumait je sentais comme une vibration. Je glissais alors ma main dans mon pantalon et en ressortait le petit disque qui faisait office de serrure. Ça semblait tellement simple !
J'étais content je ne vous dis pas. Sous la douche ce soir là je me suis vengé, le laissais l'eau couler sur moi, et je bandais, ça fait du bien de bander comme ça pour le plaisir, surtout que j'avais bien cru que ça ne se reproduirait pas avant un long moment. Je savonnais abondamment mes parties intimes en prenant bien le temps de masser ma queue, encore et encore.
J'insistais sur mon gland le caressant bien avec les doigts, en refermant bien ma main autour. Ce n'était plus vraiment une caresse mais avec le savon ça glissait et c'était bon. Je m'arrêtais quand je commençais à frissonner.
Ensuite je prenais ma queue fermement serrée dans la main, avec la paume de l'autre main je frottais mon gland toujours bien lubrifié avec du savon. Je tremblais, par moment j'avais envie de jouir mais je retardais. Quand je commençais à frémir de nouveau je lâchais tout mais je respirais fort.
Je faisais durer ce jeux jusqu'à ma limite de résistance, je sentais le plaisir monter de plus en plus fort, jusqu'au moment ou je ne contrôlais plus rien. Je lâchais tout mais j'avais franchi la limite de non retour. Mon cur battait fort, ma respiration elle aussi ne faiblissait pas. Le plaisir montait, je regardais ma queue, je ne touchais plus à rien mais j'éjaculais avec force, je crachais ma sauce
C'était terriblement bon
J'avais tout de même été abstinent pendant plus d'une journée entière ! D'habitude je me branle au moins une fois par jour !
Un peu plus tard je remettais ça, j'étais dans la baignoire, je me massais l'anus avec toujours une bonne dose de savon. Je passais et repassais mon doigt sur l'orifice de mon petit cul, j'insistais de plus en plus fort. J'avais un peu peur, je ne m'étais jamais encore introduit un doigts dans le cul. J'avais bien vu une photo ( ou deux ... mais pas beaucoup plus ) sur internet mais rien de plus ( j'vous jure ! ). J'y allais doucement puis, le cul bien lubrifié, je glissais un doigt et là en un instant le plaisir montait, j'éjaculais de nouveau, c'était intense et inattendu. C'était tellement bon, je me disais que ça vaudrait la peine de recommencer ça dans l'avenir
Je me branlais encore une troisième et dernière fois avant de me sécher et de me diriger vers mon lit. Je me sentais bien et c'est à ce moment que je remarquais les colis surprise sur la table de mon salon ( bien oui il y a un coin salon dans ma chambre chez mes tontons ). Je me jetais dessus, il y avait des fringues. Chez moi aussi j'ai reçu des fringues mais là elles étaient plus rock-n-roll, des jeans, plusieurs tenus de sport, normal je fais plusieurs sports, un blouson à la mode. Un ordinateur, le même que mon père m'avait offert mais il y avait des jeux dans celui là et un abonnement pour en télécharger d'autres. Une console portable et le dernier téléphone à la mode et pour finir un drone avec caméra HD .
Je préfère tout de même mon anniversaire chez mes tontons moi !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!